« Understand that friends come and go, but for the precious few you should hold on.
Work hard to bridge the gaps in geography and lifestyle.
Because the older you get the more you need the people you knew when you were young. »
« Sache que les amis vont et viennent, mais pour une petite poignée d’entre eux il faudra t’accrocher pour les garder.
Fais des efforts pour conserver les liens malgré la distance et les différences de styles de vies.
Parce que plus tu vieilliras plus tu auras besoin des personnes que tu connaissais quand tu étais jeune. »
Cette magnifique citation nous vient de la chanson Everybody’s free to wear sunscreen de Bazz Luhrmann. Chanson qui s’est vite frayée un trajet direct direction : mon cœur mou. Elle est également devenue, au fur et à mesure, une part de mes affirmations quotidiennes.
Il faut dire qu’elle est criante de vérité.
Et c’est en listant les paroles – une énième fois – que j’ai pensé à ces ami.es. Mes ami.es. Et, peut-être, les vôtres aussi. Ces ami.es que je ne prends pas le temps de remercier d’être là. Ces ami.es que je prends pour acquis comme si c’était « normal » de les avoir, qu’ils m’étaient redevable ou je ne sais trop quoi. Seulement, je leur dois de le reconnaître : j’ai une chance inouïe de les avoir dans ma vie.
Il n’y a qu’eux qui savent ce qui me fait du bien, ce qui me torture, ce qui me fait pleurer, ce qui me fait peur… Il n’y a qu’eux qui savent trouver les mots quand je ne les trouve pas et me donner des réponses quand je me questionne.
J’éprouve un amour inconditionnel et une gratitude immense pour ces personnes qui me construisent et me déconstruisent. Elles qui me tiennent la main comme des frères, des sœurs, qui me défendent, m’encouragent et me protègent.
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